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Le souverain pontife « considère que la pratique [de la GPA] est regrettable » et ne souhaite pas que « le ventre de la mère » devienne « un objet de commercialisation ».
Le souverain pontife « considère que la pratique [de la GPA] est regrettable » et ne souhaite pas que « le ventre de la mère » devienne « un objet de commercialisation ».