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Nés grâce à un donneur de gamètes avant l’encadrement de cette pratique, en 1994, ces quadragénaires ont découvert via un test ADN qu’ils ont des demi-frères et sœurs. Depuis, Astrid, Marie, Céline ou Michel nouent des liens avec leurs « demis », des fratries de 13, 17, 20 ou 27 personnes.